
Développement durable lie ensemble la préoccupation pour la capacité des systèmes naturels aux défis sociaux auxquels l'humanité. Dès le début les années 1970, « développement durable » a été employé pour décrire une économie « en équilibre avec base systèmes écologiques de soutien. » Les écologistes ont souligné toThe limites croissance et présenté l'alternative d'une « économie de l'état stationnaire » afin d'aborder les préoccupations environnementales.
Le concept du développement durable a dans le passé plus souvent été éclaté en trois éléments constitutifs : durabilité de l'environnement, la viabilité économique et sociopolitique durabilité. Plus récemment, il a été suggéré qu'une ventilation analytique plus cohérente est de distinguer quatre domaines de la durabilité économique, écologique, politique et culturelle. Cela est compatible avec le passage de CGLU à faire de la « culture » le quatrième domaine de la durabilité. D'autres sources importantes se référer au quatrième domaine comme « institutionnel » ou "bonne gouvernance.
En 1987, l'ONU a publié le rapport Brundtland, qui comprenait ce qui est maintenant une des définitions plus largement reconnues: « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire leurs propres besoins. »
Selon le même rapport, la définition ci-dessus contienne en son sein deux concepts clés:
•
la notion de « besoins », en particulier, les besoins essentiels du
monde de pauvres, pour laquelle dominante priorité devrait être accordée
;
•
l'idée des limitations imposées par l'état de la technologie et
l'organisation sociale présente la capacité de l'environnement pour
répondre aux besoins et futurs
Histoire du Concept :
le
concept du développement durable a été à l'origine synonyme avec celui
du développement durable et est encore souvent utilisé de cette façon.
Les deux termes dérivent le plus forestier terme « rendement soutenu »,
qui est à son tour une traduction du terme allemand « nachhaltiger
Ertrag » datant de 1713. Selon différentes sources, le concept de
durabilité dans le sens d'un équilibre entre la consommation de
ressources et de la reproduction a été toutefois appliqué à la
sylviculture déjà au XIIe au XVIe siècle.
« Développement durable » est une modification sémantique, la prorogation et le transfert de l'expression « rendement soutenu ». Il s'agissait de la doctrine et, en effet, le « Saint Graal » des forestiers dans le monde entier depuis plus de deux siècles. L'essence du « rendement soutenu sylviculture » a été décrit par exemple par William A. Duerr, un expert américain sur les forêts: « pour remplir nos obligations envers nos descendants et pour stabiliser nos communautés, chaque génération doit maintenir ses ressources à un niveau élevé et leur remettre le long sans faiblir. Le rendement soutenu de bois est un aspect de besoin plus fondamental de l'homme: à la vie elle-même. » Une prévision fine de la formule Brundtland.
Domaines :
« Développement durable » est une modification sémantique, la prorogation et le transfert de l'expression « rendement soutenu ». Il s'agissait de la doctrine et, en effet, le « Saint Graal » des forestiers dans le monde entier depuis plus de deux siècles. L'essence du « rendement soutenu sylviculture » a été décrit par exemple par William A. Duerr, un expert américain sur les forêts: « pour remplir nos obligations envers nos descendants et pour stabiliser nos communautés, chaque génération doit maintenir ses ressources à un niveau élevé et leur remettre le long sans faiblir. Le rendement soutenu de bois est un aspect de besoin plus fondamental de l'homme: à la vie elle-même. » Une prévision fine de la formule Brundtland.
Domaines :
Sciences économiques :
le
domaine de le « économie » est fondamental pour des considérations de
développement durable, mais il a été de nombreuses critiques de la
tendance à utiliser le modèle de trois-domaine de la triple approche :
économique, environnement et social. Cette approche est contestée dans
la mesure où il traite l'économie comme le domaine maître, ou un domaine
qui existe en dehors de la social ; il considère l'environnement comme
un monde de paramètres naturels ; et il traite le social comme un
ensemble divers de choses supplémentaires qui n'entrent pas dans les
domaines économiques ou environnementaux (voir la section sur la
durabilité économique ci-dessous). Dans la méthode alternative de
cercles de durabilité, le domaine économique est défini comme les
pratiques et les significations associées à la production, utilisation
et gestion des ressources, où la notion de « ressources » est utilisée
dans le sens le plus large de cette mot.
Écologie :
Le
domaine de le « écologie » a été difficile à résoudre, car il a aussi
une dimension sociale. Certaines recherches activités à partir de la
définition du développement vert pour soutenir que l'environnement est
une combinaison de la nature et la culture. Toutefois, cela a pour effet
de rendre le modèle de domaine difficile à manier, si la culture doit
être considérée comme un domaine à part entière (voir ci-dessous).
D'autres écrivent donc, de l'écologie comme étant plus largement à
l'intersection du social et de l'environnement - écologie. Cette
démarche permet la culture à utiliser comme un domaine parallèlement à
l'économie et l'écologie.
Le développement durable des établissements humains est implicite dans l'objet d'étude dans le relation entre les humains et leur environnement naturel, social et bâti. Aussi appelé écologie humaine, Cela élargit l'objectif du développement durable afin d'inclure le domaine de la santé humaine. Les besoins humains fondamentaux tels que la disponibilité et la qualité de l'air, eau, nourriture et abri sont aussi les bases écologiques pour un développement durable ; risque de santé publique grâce à des investissements dans les services de l'écosystème peut être une force puissante et transformatrice du développement durable qui, en ce sens, s'étend à toutes les espèces.
Le développement durable des établissements humains est implicite dans l'objet d'étude dans le relation entre les humains et leur environnement naturel, social et bâti. Aussi appelé écologie humaine, Cela élargit l'objectif du développement durable afin d'inclure le domaine de la santé humaine. Les besoins humains fondamentaux tels que la disponibilité et la qualité de l'air, eau, nourriture et abri sont aussi les bases écologiques pour un développement durable ; risque de santé publique grâce à des investissements dans les services de l'écosystème peut être une force puissante et transformatrice du développement durable qui, en ce sens, s'étend à toutes les espèces.
Culture :
Travaillant
avec un accent différent, certains chercheurs et institutions ont
souligné qu'une quatrième dimension doit être ajoutée à la dimension du
développement développement, étant donné que les dimensions de
triple-bottom-line d'économiques, environnementaux et sociaux ne
semblent pas suffire pour tenir compte de la complexité de la société
contemporaine. Dans ce contexte, l'Agenda 21 pour la culture et
theUnited villes et gouvernements locaux Unis (CGLU) Bureau exécutif
conduisent la préparation de l'énoncé de politique « Culture : quatrième
pilier du développement durable », adoptée le 17 novembre 2010, dans le
cadre du Sommet mondial des pouvoirs locaux et des dirigeants régionaux
– 3e Congrès mondial de CGLU, qui s'est tenue à Mexico.
Ce
document inaugure une nouvelle perspective et pointe vers la relation
entre culture et développement durable à travers une double approche :
élaboration d'une politique culturelle solide et préconisant un
dimension culturelle dans l'ensemble des politiques publiques. Le réseau
d'Excellence « Durable développement dans un divers monde », parrainé
par l'Union européenne, intègre des capacités multidisciplinaires et
interprète de la diversité culturelle comme un élément clé d'une
nouvelle stratégie pour le développement durable. L'approche de cercles
du développement durable définit le domaine culturel comme pratiques,
discours et supports des manifestations, qui, au fil du temps, expriment
les continuités et discontinuités du sens social. Cependant, la culture
relève de la dimension sociale/socio-politique de la durabilité, et par
conséquent la proposition permettant d'ajouter une quatrième dimension «
culturelle » n'a pas été largement acceptée.
Politique :
L'United
Nations Global Compact villes Programme a défini le développement
politique durable est un moyen qui élargit la définition usuelle au-delà
des États et de la gouvernance. La politique est définie comme le
domaine des pratiques et des significations associées à des questions
fondamentales du pouvoir social se rapportant à l'organisation,
l'autorisation, la légitimation et la règlement d'une vie sociale qui
s'est tenue en commun. Cette définition est conforme à l'opinion que le
changement politique est important pour répondre aux défis économiques,
écologiques et culturels. Cela signifie également que la politique du
changement économique peut être adressée. Cela est particulièrement vrai
en ce qui concerne la notion controversée de « entreprise durable » qui
a besoin de cadres mondiaux et risques comme « des chances » pour
entreprise privée à offrir des solutions d'entreprise rentables. Ce
concept est maintenant enseigné dans nombreuses écoles de commerce comme
le Center for Sustainable Enterprise Global à l'Université Cornell et
l'Institut Erb pour entreprises de durable à l'Université du Michigan.
Le développement durable est un concept éclectique et un large éventail de vues politiques tombent sous son égide. Le concept a inclus les notions de durabilité faible, grande durabilité et écologie profonde. Conceptions différentes révèlent également une forte tension entre éco-centrisme et anthropocentrisme. Coexistent de nombreuses définitions et images (visualisation de durabilité), du développement durable. Au sens large, le durable mantra de développement enjoint aux générations actuelles d'adopter une approche de systèmes pour la croissance et du développement et de gérer le capital naturel, produit et sociale pour le bien-être de leurs propres et les générations futures.
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